Ce qui devait...
Ce qui devait arriver, arriva. Comme tout pêcheur maladroit qui se respecte, j'ai fait un test dont la conclusion est sans appel : un portable ne sais pas nager. Sous 7m d'eau, impossible de récupérer la bête. Adieu photos des dernières sorties, ce post sera donc pauvre en clichés.
Ce qui devait arriver arriva également côté pêche. La roue tourne et après trois grosses semaines d'activité soutenue, force est de constater que nous revenons à la normale. Fini les scores à 15 - 20 sandres par sortie. Dommage car nous y prenions goût. Cela n'a rien d'illogique et ce, pour plusieurs raisons.
Tout d'abord de retour de fraie, les sandres ont une fâcheuse tendance à être agressifs. Nous en jouons et cela fait souvent mouche. Deuxièmement, ils retrouvent rapidement une nourriture en abondance. Et pour terminer, il ne faut pas l'oublier, la valse des leurres au dessus de leurs têtes ont eu raison de leur légère baisse de méfiance.
--> 3 facteurs donc pour une réalité implacable : la pêche se durcit!
--> 3 facteurs donc pour une réalité implacable : la pêche se durcit!
Toujours est-il qu'en cherchant bien, sur des postes hyper précis, il est possible de faire du poisson. Peu de touches certes mais des poissons de tailles respectables avec plusieurs individus au-dessus de 60.
Premiers sandres aussi débusqués côté Loire et un sandre en Loire en vaut 10 tant ce fleuve est difficile à appréhender. Pour la technique, rien de très original : du linéaire. Méthode par excellence pour battre du terrain, des teintes naturelles avec des eaux claires et des animations fonction de ces messieurs : rapides sur des pics d'activité, au ralenti sur des poissons calés.
L'été si un facteur est bien à prendre en compte pour moi, ce sont les niveaux de nos chères rivières. L'augmentation soudain d'un débit pousse le poisson à se nourrir et sort naturellement de ses abîmes et autres embâcles pour s'alimenter. Avec ce qu'il tombe en ce moment, je vous prie de croire que nous guettons les niveaux des eaux sur différents biefs comme le lait sur le feu. Certaines côtes nous rappellent de très très bons souvenirs et nous aurons 24 - 48 heures pour faire la tournée des grands ducs. Après, avec la redescente, il sera trop tard!
Tic tac, tic tac... la suite au prochain article, avec des photos ce coup-ci ;-)
Premiers sandres aussi débusqués côté Loire et un sandre en Loire en vaut 10 tant ce fleuve est difficile à appréhender. Pour la technique, rien de très original : du linéaire. Méthode par excellence pour battre du terrain, des teintes naturelles avec des eaux claires et des animations fonction de ces messieurs : rapides sur des pics d'activité, au ralenti sur des poissons calés.
L'été si un facteur est bien à prendre en compte pour moi, ce sont les niveaux de nos chères rivières. L'augmentation soudain d'un débit pousse le poisson à se nourrir et sort naturellement de ses abîmes et autres embâcles pour s'alimenter. Avec ce qu'il tombe en ce moment, je vous prie de croire que nous guettons les niveaux des eaux sur différents biefs comme le lait sur le feu. Certaines côtes nous rappellent de très très bons souvenirs et nous aurons 24 - 48 heures pour faire la tournée des grands ducs. Après, avec la redescente, il sera trop tard!
Tic tac, tic tac... la suite au prochain article, avec des photos ce coup-ci ;-)
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